Les 10 meilleurs films d’Edward Norton (en tant qu’acteur), selon IMDb
Edward Norton est salué comme l’un des meilleurs acteurs de sa génération. Après avoir fait des débuts mémorables dans Primal Fear, dans lequel il a battu des milliers de jeunes acteurs pour le rôle, il est devenu l’un des acteurs les plus recherchés à ce jour.
Norton Jr est sur le point de jouer dans Motherless Brooklyn, qu’il a également écrit et réalisé. Alors que Norton séduit les critiques avec son interprétation d’un détective atteint du syndrome de la Tourette, nous avons pensé qu’il était grand temps d’évaluer ses films les mieux accueillis à ce jour. Voici les 10 meilleurs films d’Edward Norton Jr, selon IMDb.
10 The Painted Veil (7.5/10)
Norton fait jouer son accent britannique dans le drame d’époque exotique The Painted Veil, dans lequel il incarne le médecin dévoué Walter Fane, qui doit guérir un hameau chinois d’une épidémie de choléra.
Le film, basé sur un roman de W. Somerset Maugham, est adoré tant par les fans occasionnels que par les critiques de cinéma. Le réalisateur John Curran adapte le roman sur la tentative d’un noble médecin de sauver un peuple différent du sien, tout en luttant pour garder sa propre famille unie. Naomi Watts joue la femme adultère de Walter, Kitty Fane, qui oblige Walter à se débattre avec leur mariage.
9 25th Hour (7.6/10)
Si vous connaissez un peu Norton, vous savez quel impact monumental a eu Do The Right Thing de Spike Lee sur le jeune aspirant acteur. Alors, quand il a eu l’occasion d’allumer un joint de Spike Lee 13 ans plus tard, il a sauté sur l’occasion.
Dans 25th Hour, Norton joue Monty Brogan, un trafiquant de drogue de NYC qui subit une importante période de réflexion avant de se rendre pour une peine de prison. Avec une dernière nuit pour célébrer ses deux meilleurs amis, sa petite amie et son père loyal, Brogan est aux prises avec des regrets et des remords profondément enfouis.
8 L’Illusionniste (7/6/10)
Sortie moins de deux mois avant le spectacle de magie rival de Christopher Nolan, Le Prestige, les fans sont encore très sensibles aux tours de passe-passe de Norton dans L’Illusionniste.
Dans le film d’époque, Norton joue un magicien très en vue nommé Eisenheim à la fin du 19e siècle. Lorsqu’il tire une volontaire du public pour exécuter l’un de ses tours, il reconnaît la femme de son enfance. Devenue la duchesse von Teschen, Sofie (Jessica Biel) est prête à épouser le prince héritier, mais Eisenheim a d’autres idées et utilise désespérément sa magie pour gagner son cœur.
7 Peur primale (7.7/10)
Les premières performances à l’écran ne sont pas censées être aussi bonnes. Mais encore une fois, je suppose que c’est ce que vous obtenez lorsque vous battez environ 2 100 autres acteurs pour obtenir le rôle.
Dans Primal Fear, Norton joue Aaron Stampler, un enfant de chœur doux et gentil accusé d’avoir tué un pasteur. Richard Gere est l’avocat chargé de le défendre. Avec toutes les preuves pointées vers Aaron, personne ne peut croire qu’un garçon aussi gentil et innocent puisse commettre un crime aussi odieux. Alors que l’avocat d’Aaron s’efforce de le faire disculper, une conclusion à couper le souffle se produit.
6 Birdman (7.7/10)
Après Primal Fear et American History X, Norton a obtenu sa troisième nomination aux Oscars pour sa performance dans Birdman. Alors que Norton a perdu face à JK Simmons dans Whiplash, Birdman a remporté le prix du meilleur film.
Filmé pour apparaître comme un long plan continu, le film suit un acteur en disgrâce, Riggan Thomson (Michael Keaton), qui cherche désespérément à se racheter en écrivant, dirigeant et jouant dans sa nouvelle pièce de théâtre. Norton se moque de sa réputation hors écran en jouant le rôle de Mike, un acteur difficile, imbu de lui-même en surface, mais peu sûr de lui au fond.
5 Moonrise Kingdom (7.8/10)
La première collaboration de Norton avec l’auteur excentrique Wes Anderson se classe toujours comme son film le plus aimé par les critiques. Pensez-vous que Moonrise Kingdom est le meilleur film de Norton ?
La comédie romantique se concentre sur de jeunes tourtereaux, Sam (Jared Gilman) et Suzy (Kara Hayward), qui s’enfuient de leur vie difficile à la maison pour être seuls dans la nature ensemble. Norton joue le rôle du scout Master Ward, qui cherche désespérément à retrouver Sam après qu’il se soit enfui en faisant sa ronde. Connu pour ses rôles dramatiques intenses, le film marque la première comédie franche de Norton depuis Death to Smoochy en 2002.
4 Isle Of Dogs (7.9/10)
Croyez-le ou non, trois des 10 films de Norton les mieux notés, selon IMDB, proviennent de films de Wes Anderson. Allez comprendre.
Dans leur plus récente collaboration, Isle of Dogs, Norton a incarné Rex, l’un des cinq toutous partis aider un petit garçon à retrouver son chien perdu. Lorsqu’une épidémie de grippe canine frappe le Japon, tous les cabots du pays sont mis en quarantaine sur « l’île aux ordures ». Une fois que Rex et ses quatre amis arrivent sur l’île, ils rencontrent un garçon solitaire qui cherche désespérément à sauver son animal préféré.
3 The Grand Budapest Hotel (8.1/10)
Pour son ensemble comique décalé The Grand Budapest Hotel, le scénariste/réalisateur a remporté l’Oscar du meilleur scénario original. Avec des acteurs phénoménaux comme Norton qui récitent les lignes, on comprend pourquoi.
Le film est centré sur l’hôtel fictif situé quelque part en Europe, et sur le concierge décalé, Gustav H (Ralph Fiennes). Norton joue un homme de loi moustachu, Henckels, qui cherche à faire toute la lumière sur un meurtre récent dans l’hôtel. Le film marque la deuxième collaboration entre Norton et Anderson et, espérons-le, ce ne sera pas la dernière.
2 American History X (8.5/10)
American History X est l’un des films les plus puissants et provocateurs jamais réalisés. L’une des raisons en est le tour de force fulgurant d’Edward Norton dans le rôle d’un chef de bande suprémaciste blanc repenti.
Norton est absolument terrifiant dans le rôle de Derek Vineyard, un organisateur de la haine portant un tatouage nazi. Mais après un séjour en prison et le soutien de son professeur de lycée afro-américain, il commence à voir la lumière. Lorsqu’il rentre à la maison, il découvre que son petit frère a repris son rôle d’organisateur de la haine des skinheads. Derek tente désespérément d’éduquer son frère avant qu’il ne soit trop tard.
1 Fight Club (8.8/10)
Pour aussi mémorable que fut l’année 1999 au cinéma, peu de voix générationnelles ont résonné aussi fort que celle de Fight Club de David Fincher.
Dans ce qui s’apparente à une farce psychologique viscérale, Fight Club suit la personnalité fracassante d’un drone de bureau rongé par l’insomnie (Norton). Avec un profond sentiment de malaise avec sa vie, le narrateur projette une version idéalisée sur lui-même sous la forme de Tyler Durden. Tyler est tout ce que le narrateur n’est pas, et les combats souterrains qu’ils organisent deviennent une simple métaphore de son intense lutte interne.
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