Pourquoi acheter des patates douces quand cultiver les siennes est si facile ?
Il semble que ma famille vit presque de patates douces.
Dans un ménage à l’alimentation saine, ces tubercules racinaires sont comme un dessert, même sans la cassonade ajoutée. Et si nous passons plus de quelques jours sans les inclure dans un repas, nous le remarquons.
Alors, si vous cherchez une culture de jardin à la fois nutritive et indulgente, les patates douces sont la réponse.
Au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner, ce comestible de saison chaude facilement stocké est délicieux et polyvalent.
Et bien qu’il nécessite une bonne quantité d’espace dans le jardin, c’est une culture relativement facile à faire pousser.
En mai dernier, j’ai acheté six slips, je les ai poussés dans un lit surélevé, et j’admets ne pas y avoir prêté beaucoup d’attention.
En septembre, j’avais plus de 30 tubercules racinaires de taille moyenne. I will definitely be growing these delicious beauties again this year.
To get even better results, keep reading. I’ve dug into the details about what it takes to grow this amazing root crop for the best harvest possible. Here’s what’s in store:
How to Grow Sweet Potatoes
- What They Aren’t
- Getting Started
- Ideal Growing Conditions
- Pests and Diseases to Know About
- Minimal Effort, Large Reward
What They Aren’t
It’s important to realize that sweet potatoes (Ipomea batatas) aren’t related to regular potatoes (Solanum tuberosum) or yams (Dioscorea sp).
C’est une plante tropicale, qui n’est rustique que dans les zones 9 à 11, et qui est en fait une parente de la gloire du matin.
Les variétés ornementales sont vendues dans tout le pays pour leurs feuilles attrayantes et colorées.
La partie comestible de la plante est un organe de stockage agrandi qui se forme sur la racine, appelée tubercule racinaire. Les pommes de terre irlandaises, en revanche, sont des tubercules-tiges.
C’est pourquoi les méthodes de culture des patates douces et des pommes de terre irlandaises sont très différentes.
Pour les pommes de terre irlandaises, vous encouragez les tiges à se développer grâce à une méthode comme le buttage. Mais avec les patates douces, il s’agit d’encourager la croissance des racines.
Démarrer
Les patates douces fleurissent rarement en dehors de leur aire d’origine, elles sont donc généralement propagées à partir de slips, ou de nouvelles pousses qui sortent des extrémités des tubercules racinaires.
Si c’est votre première tentative, il est préférable de commander des slips auprès d’une pépinière ou d’un fournisseur de confiance, car ils sont moins susceptibles de porter des maladies.
Les années suivantes, vous pouvez utiliser vos propres plantes mères pour démarrer de nouveaux slips. Pour éviter les maladies, pensez à acheter de nouveaux slips tous les trois ans environ.
Il existe une tonne de tutoriels sur le démarrage des slips, mais je vais juste partager une option avec vous :
Au début du printemps, déplacez une pomme de terre mère saine dans un endroit chaud. Faites tremper le tubercule entier dans de l’eau chaude pendant la nuit, environ un mois avant la date du dernier gel de votre région.
Puis, trouvez un récipient assez grand pour contenir le nombre de pommes de terre que vous voulez utiliser. J’ai coincé une seule pomme de terre dans un moule à pain et c’était la taille parfaite.
Ne vous gênez pas pour être créatif avec votre récipient. Vous pouvez utiliser tout ce qui vous tombe sous la main et qui a la bonne taille.
Un bac à graines profond est adapté si vous essayez de faire germer plus d’une plante.
Remplir le récipient d’un pouce ou deux seulement d’un mélange de terreau et de sable.
Placer la patate douce dans le récipient à l’horizontale et la recouvrir de terre. Ce n’est pas grave si elle dépasse un peu de la terre.
Gardez la terre humide et chaude, et attendez que les glissements se forment. Cela prendra probablement quelques semaines, et vous pouvez vous attendre à en obtenir au moins 6 par tubercule.
Une fois que les tubercules nouvellement formés mesurent au moins 10 cm de long, cassez-les soigneusement.
L’un des avantages de la germination des patates douces dans le sol plutôt que dans l’eau est que les tubercules ont tendance à avoir des racines plutôt bien formées dès le départ.
Si ce n’est pas le cas, vous pouvez toutefois les enraciner dans l’eau. Remplissez un verre avec juste quelques centimètres d’eau propre et, idéalement, sans chlore.
Le pouce ou les deux pouces inférieurs de la tige de la slip doivent être immergés, tandis que les feuilles dépassent du haut.
Dans une semaine, ils développeront des racines et seront prêts à être plantés dans le jardin, étant donné que toute chance de gel est passée et que la température du sol est autour de 70°F.
Vous voudrez les sortir dans le jardin le plus tôt possible car, selon la variété, les plantes auront besoin de 90 à 120 jours pour arriver à maturité.
Sans une longue saison de croissance, il y a de fortes chances que vous soyez déçu par votre récolte. Si vous avez désespérément besoin de plus de temps en fin de saison, essayez d’utiliser des couvertures de rangs flottantes.
Conditions de culture idéales
Les patates douces sont plutôt résistantes. La seule chose qu’elles ne tolèrent pas, cependant, c’est le temps frais. La moindre gelée les emportera.
Mais elles supportent très bien la chaleur et la sécheresse.
Pour autant, meilleures sont les conditions de culture, meilleure est la récolte.
Etant une culture de racines, la santé du sol fait une grande différence. Un sol légèrement acide avec un pH entre 6,0 et 6,5 est idéal.
Un terreau sableux bien drainant mais dense en nutriments rendra cette vigne tropicale qui aime le soleil la plus heureuse.
Les lits surélevés sont également une excellente option, car ils se réchauffent rapidement et sont généralement remplis d’un mélange de sol limoneux. Un sol meuble permettra aux racines de se développer librement.
Ajoutez du compost organique frais une semaine ou deux avant la plantation, pour un ajout de nutriments et de matière organique.
Si vous préférez les engrais chimiques et ne voulez pas faire analyser votre sol, tenez-vous-en à un ratio N-P-K (azote, phosphore, potassium) de 5-10-10.
Ne perdez pas de vue qu’un excès d’azote donnera des vignes vigoureuses, mais une petite récolte.
Espacer les plantes d’au moins 24 pouces pour donner aux vignes un espace suffisant pour s’étendre. Gardez-les bien arrosées jusqu’à ce qu’elles s’établissent.
Appliquez une couche de paillis organique, comme de l’écorce de pin ou des tontes de gazon, qui aidera à retenir l’humidité et la température du sol, ainsi qu’à réduire les mauvaises herbes.
Une fois que les vignes commencent à prendre de l’ampleur, vous pouvez supposer qu’elles sont établies.
Les conteneurs fonctionnent bien aussi, mais n’essayez pas d’entasser une petite zone avec trop de slips. Si vous le faites, vous diminuerez considérablement le nombre de tubercules qui se développent par plante.
Au contraire, les plantes qui ont suffisamment d’espace pour se développer produisent une récolte beaucoup plus importante.
En l’absence de pluie, arrosez régulièrement. Même si les plantes tolèrent la sécheresse, votre récolte sera plus importante si elles ne sont pas soumises à un stress lié à l’eau.
Si on les laisse se flétrir, le développement des racines en souffrira probablement.
Environ trois semaines avant la récolte, arrêtez d’arroser. Un arrosage excessif en fin de saison peut provoquer l’éclatement des tubercules.
Une fois que les vignes se remplissent, les mauvaises herbes auront plus de mal à s’établir. Évitez de couper les vignes si possible.
Si l’espace est un problème, envisagez de cultiver une variété buissonnante plus compacte.
Si vous vivez dans une région où les étés sont doux, essayez de poser un tissu de jardinage épais sur le sol pour augmenter la température.
Les lits surélevés se réchauffent plus rapidement et sont particulièrement appropriés si les températures plus fraîches sont courantes.
Vous pouvez également envisager de poser du plastique noir sur la zone au printemps pour faire remonter la température du sol.
Les ravageurs et les maladies à connaître
Les ravageurs souterrains pourraient être les pires de tous car vous ne savez souvent pas qu’ils sont un problème jusqu’au moment de la récolte.
Quelle déception quand vous allez récolter, pour découvrir que votre culture a déjà servi de repas à des habitants souterrains.
Si vous cultivez des plantes dans une zone où poussait récemment de l’herbe, les vers fil-de-fer (les larves de ténébrions) et les nématodes à galles pourraient déjà être présents. Ces deux bestioles aiment croquer les tubercules.
Regardez à l’œil toute vigne rabougrie ou jaunie. Cela peut valoir la peine de creuser un peu pour faire des recherches si vous soupçonnez la présence de ravageurs souterrains.
La rotation des cultures, les cultures de couverture et la plantation sur des lits surélevés où la matière du sol est mieux contrôlée peuvent aider à prévenir l’infestation par les ravageurs vivant dans le sol.
De minuscules trous dans les feuilles peuvent être l’œuvre d’altises. Si les vignes sont saines et vigoureuses, elles devraient pouvoir supporter certains dégâts.
La gale de la patate douce est une maladie assez courante, qui se traduit par des taches noires sur la peau des tubercules. Bien que cela puisse être inesthétique, cela n’affecte pas vraiment la qualité de la récolte. Retirez la peau affectée et mangez-les tout de même.
Choisissez des variétés résistantes aux maladies et des tubercules sains dès le départ, et fournissez des conditions de croissance adéquates, et vous ne rencontrerez probablement aucun problème de maladie.
Effort minimal, récompense importante
Dans l’ensemble, les patates douces sont une culture indulgente à cultiver.
Et, même si vous n’obtenez qu’une petite récolte la première saison, vous pouvez conserver un ou deux tubercules comme plantes mères pour la saison suivante.
In this way, you’ll need to spend very little money while honing your sweet potato growing skills.
Learn more about harvesting and storing your sweet potatoes here.
This long-season, heat-loving tropical is beautiful and low maintenance. And the delicious, easy to store root tubers are a satisfying reward for minimal effort.
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Photos by Amber Shidler © Ask the Experts, LLC. ALL RIGHTS RESERVED. See our TOS for more details. Uncredited photos: . Avec une rédaction et une édition supplémentaires par Allison Sidhu.
A propos d’Amber Shidler
Amber Shidler vit à Cincinnati, dans l’Ohio, et est titulaire d’une double licence en botanique et en géographie. Pendant quatre ans, elle a travaillé comme horticultrice, mais elle est maintenant une mère au foyer. Forte de son expérience dans la conception, l’installation et l’entretien de paysages, elle s’est fixé pour objectif de transformer son dixième d’acre de terrain en une oasis productive. Amber est passionnée par tout ce qui touche au jardinage, en particulier par la culture et la dégustation d’aliments biologiques.